Un nouveau président pour le Centre INRAE Hauts-de-France
Depuis le 1er octobre, Julien Fosse a été nommé Président du Centre INRAE Hauts-de-France par Philippe Mauguin, PDG de l’Institut. Il succède à Christine Martinez qui assurait l’intérim depuis janvier.
Publié le 12 octobre 2022
Le Centre INRAE Hauts-de-France regroupe quatre sites géographiques : Villeneuve d’Ascq (59), Arras (62), Estrées-Mons (80) et Laon (02). Sur ces sites, 6 unités sont présentes : une unité mixte de recherche (UMET) et une unité sous contrat (Glycobiologie Structurale et Fonctionnelle) avec l’Université de Lille à Villeneuve d’Ascq, une unité de service à Arras (Laboratoire d’analyse des Sols), une unité mixte de recherche transfrontalière à Estrées-Mons et Laon (BioEcoAgro) avec les universités de Lille, d’Amiens et de Liège, une unité expérimentale à Estrées-Mons (UE Grandes Cultures Innovation Environnement).
Aujourd’hui à la présidence du Centre Hauts-de-France, Julien Fosse retrouve l’institut où il a débuté sa carrière avant d’occuper différents postes en administration centrale, comme France Stratégie, sur des questions d’alimentation, de transition agroécologique, de recherche et de prospective. Docteur vétérinaire et docteur en biologie, Julien Fosse exercera ses fonctions de président de centre parallèlement à une mission nationale auprès de la Directrice Générale Déléguée Science et Innovations, Carole Caranta.
Sur le continuum « agriculture-alimentation-environnement », INRAE a pour ambition d’être un acteur clé des transitions nécessaires pour répondre aux grands enjeux mondiaux. Et en tant que représentant de l’institut en région, Julien Fosse se fera l’écho de ces orientations. Il a en particulier pour ambition de renforcer les liens du Centre INRAE avec la région, la société civile et les acteurs économiques locaux de l’alimentation, de l’agriculture et de l’environnement. Pour cela, il s’appuiera sur les travaux des chercheurs du Centre autour de la multi-performance de systèmes de grandes cultures pour une bioéconomie durable, et l’hygiène des procédés agroalimentaires : qualité des sols, cultures économes en intrants et à faible empreinte environnementale, production de biomasse, interaction système sol/plante et atmosphère, souillures bactériennes ou alimentaires et leur présence sur les parois des équipements, transformation des protéines laitières…