Alimentation, santé globale 2 min

[Infographie] Qu'apportent les produits animaux ?

Principaux apports des produits animaux et apports nutritionnels conseillés en protéines animales.

Publié le 25 février 2019

illustration [Infographie] Qu'apportent les produits animaux ?
© B. and E. Dudziński

Infographie apports nutritionnels des produits animaux

 

Les produits animaux sont d’abord une source importante de protéines. Les apports conseillés en protéines sont calculés pour équilibrer le bilan azoté de l’organisme (synthèse versus dégradation des protéines). Mais les produits animaux sont aussi des sources importantes de micronutriments (vitamines, fer, sélénium, etc.), dont les carences sont moins bien définies et connues. Il y a ainsi en France 25% des adolescentes et femmes en âge de procréer qui ont des apports en fer inadéquats, dont 7 à 15% présente des critères avérés de carence en fer (deux paramètres sériques anormaux parmi les quatre définis) (Credoc, enquête CCAF, 2013).

Retour au sommaire du dossier

En savoir plus

Alimentation, santé globale

Les délices de l’œuf : exquises protéines

Mollets, mimosa, à la coque, pochés, brouillés, cocotte, sur le plat, voire même Bénédicte... les œufs se dégustent à toutes les sauces ! Et pour cause : peu onéreux, ils sont consommés dans le monde entier et comptent parmi les aliments les plus nutritifs pour l’Homme. Conçu pour nourrir l’oiseau à l’état embryonnaire, l’œuf compte moins de 100 kilocalories pour 60 grammes dont 75 % d’eau, 13 % de protéines et 10,5 % de lipides (pour la partie comestible).

17 décembre 2019

Alimentation, santé globale

Une taxe environnementale pour une alimentation durable : analyse empirique de la consommation de produits animaux

En utilisant deux niveaux de taxe appliqués à la consommation de tous les produits animaux en France, les chercheurs de TSE-R montrent qu'un taux d'imposition élevé conduirait à la réduction des émissions de GES autour de 6%, ne permettant pas d'atteindre le seuil visé par la Commission européenne de 20 % pour 2020. Malgré le faible effet d'une telle taxe, le scénario le plus efficace serait de taxer uniquement la consommation de viande de bœuf et à un niveau élevé.

31 janvier 2020