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Le centre INRAE Occitanie-Toulouse publie son rapport d’activité 2021
Replongez dans la vie et les activités du centre à travers cette rétrospective de l’année 2021, riche de projets scientifiques, partenariaux et immobiliers. Bonne lecture !
Publié le 22 juillet 2022


Retrouvez dans ce premier rapport d’activité du centre INRAE Occitanie-Toulouse, sa carte d’identité, ses axes scientifiques ou encore les temps forts de l’année notamment tournée vers les 50 ans du centre. Ce rapport, vitrine des activités du centre, met également en avant une réflexion autour de l’objet de recherche ainsi que ses multiples partenaires locaux et internationaux.
Le mot du Président
Étudier l’agriculture, l’alimentation et l’environnement à différentes échelles, de la molécule aux socio-écosystèmes, afin de produire des connaissances, innover et développer de nouveaux outils, tels sont les grands objectifs des recherches du centre INRAE OccitanieToulouse.
Ceux-ci s’inscrivent naturellement dans le plan stratégique INRAE 2030, résumé par la formule «Partageons la science et l’innovation pour un avenir durable», qui fixe le cap pour les dix années à venir à travers cinq orientations scientifiques et trois orientations de politique générale. Au niveau du centre Occitanie-Toulouse, les Territoriales 2021 ont été l’occasion de redéfinir les grandes priorités de recherche qui s’inscrivent dans le cadre de trois axes stratégiques: transitions agroécologiques, approches One Health, bioéconomie. Ces priorités s’appuient sur des atouts assez exceptionnels en matière d’infrastructures de recherche et d’approches transversales en math-info et technologies numériques.
À travers ce tout premier rapport d’activité de centre, vous pourrez retracer le fil de l’année 2021 encore rythmée par la pandémie de la Covid-19, mais riche de projets scientifiques, partenariaux et immobiliers. Parmi les événements, le colloque «Construire l’avenir, prendre soin du futur - Quelles responsabilités de la recherche ?» a permis de clôturer le cinquantenaire du centre et de s’interroger sur les formes de production des connaissances et sur leurs usages, sur ce que signifie être expert et sur nos contributions aux débats publics.
Très bonne lecture !