2 min

Nathalie Touze, chargée de mission «relations internationales» pour INRAE en Île-de-France, s'implique dans l'Université Paris-Saclay

Depuis le 1er janvier 2020, Nathalie Touze est Présidente de Centre Adjointe du centre de recherche INRAE Ile-de-France Jouy-en-Josas-Antony. A ses missions auprès du président de centre, s’ajoutent celles de correspondante relations internationales des centres INRAE d’Île-de-France et de représentation de l’institut au sein de la commission recherche de l’Université Paris-Saclay

Publié le 05 juin 2020

illustration Nathalie Touze, chargée de mission «relations internationales» pour INRAE en Île-de-France, s'implique dans l'Université Paris-Saclay
© INRAE / C. JEZ

Suite à la fusion entre l’Inra et Irstea, Nathalie Touze, qui assurait la direction du centre régional Irstea d’Antony, a pris les fonctions de Présidente adjointe du centre de recherche Île-de-France – Jouy-en-Josas – Antony, auprès de son Président, Thierry Pineau.

Sur un périmètre plus large, Nathalie Touze est une interlocutrice privilégiée d’INRAE en tant que correspondante pour l’international des deux centres de recherche INRAE d’Ile-de-France. Elle représente également l’Institut au sein de la toute nouvelle commission recherche de l’Université Paris-Saclay. Dans la continuité de son expérience passée au sein d’Irstea, et compte tenu de son expertise disciplinaire personnelle, elle assure également la représentation d’INRAE auprès de l’Agence de l’Eau Seine-Normandie.

Retour sur le parcours professionnel de Nathalie Touze, experte en matériaux géosynthétiques

Diplômée de l’Ecole Nationale du Génie de l’Eau et de l’Environnement de Strasbourg (ENGEES), Nathalie Touze s’est spécialisée en Génie Civil grâce à la conduite d’une thèse au sein de l’Ecole Nationale Supérieure des Mines de Paris, puis l’obtention d’une habilitation à diriger les recherches de l’université Gustave Eiffel.

Elle a intégré le Cemagref (qui deviendra par la suite Irstea) en 1994, pour y réaliser des recherches sur la performance et la durabilté des matériaux géosynthétiques, dans le cadre de leur utilisation pour la préservation des ressources en eau et la protection de l’environnement. Après une mobilité à l’Ecole des Ingénieurs de la Ville de Paris (EIVP) de 2007 à 2010 en tant que responsable du pôle d’enseignement et de recherche sur l’eau et les déchets, elle s’est investie au service du collectif scientifique en tant que responsable d’équipe. Cette évolution l’a conduite à prendre ensuite, en 2015, la direction de l’unité de recherche hydrosystèmes et bioprocédés d'Antony (aujourd'hui PROSE), puis celle du centre Irstea d’Antony en 2016 et, en complément, celle du centre Irstea de Nogent-sur-Vernisson en 2017.

Conjointement à ses fonctions de gouvernance, Nathalie Touze poursuit l’accompagnement du collectif de l’unité de recherche RECOVER d’Aix-en-Provence impliqué dans les recherche sur les géosynthétiques. Son expertise scientifique lui vaut également d’assurer la présidence du Comité Français des Géosynthétiques et Vice-Présidente pour l’International Geosynthetics Society.

Christine Jez

Contact

Nathalie Touze Présidente Adjointe Centre Île-de-France - Jouy-en-Josas - Antony

Le centre

En savoir plus

Alimentation, santé globale

Un vaccin contre la toxoplasmose pour les singes Saïmiris

Les Saïmiris, petits singes d’Amérique du Sud, sont particulièrement sensibles à la toxoplasmose, une infection parasitaire due au protozoaire Toxoplasma gondii. Une campagne de vaccination de Saïmiris a débuté en septembre 2017 dans cinq parcs zoologiques français. Le vaccin contre T. gondii a été développé par l’équipe BioMédicaments Anti Parasitaires (BioMAP) de l'unité mixte de recherche Infectiologie et santé publique (UMR ISP, Inra-Université de Tours), en collaboration avec la société Vaxinano.

19 décembre 2019

Bioéconomie

Isoler nos habitats grâce aux déchets agricoles

Pour un habitat durable, une bonne isolation thermique est indispensable car elle permet de réduire la consommation énergétique. L’objectif, rappelé dans le volet 2 de la loi sur la transition énergétique, est de rénover 400 000 bâtiments par an d’ici 2020. Pour relever ce défi, l’une des solutions est d’utiliser des biomatériaux isolants issus de déchets de l’agriculture. Parmi les sous-produits agricoles, le tournesol pourrait être un bon candidat.

17 décembre 2019