Faits marquants du Département AgroEcoSystèmes

Pour l'année 2021, nous avons sélectionné avec l'équipe de direction 24 faits marquants de nos unités pour représenter la qualité de nos recherches.

Publié le 13 mai 2022

illustration Faits marquants du Département AgroEcoSystèmes
© AgroEcoSystèmes

L'équipe du département remercie toutes les unités pour les remarquables travaux encore une fois mis à l'honneur dans ce recueil.

Au sommaire :

  • Agronomy for Sustainable Development, une revue INRAE qui cultive l’excellence
  • Caractérisation des facteurs de la résilience des exploitations bovines et ovines laitières biologiques françaises
  • Evaluation des performances de pratiques agroécologiques sur le Bassin Adour-Garonne : synthèse du programme BAG’AGES
  • L’impact du changement climatique sur la productivité de l’agriculture de conservation
  • Évaluer numériquement les impacts du changement climatique au sein d’un bassin viticole pour co-construire des stratégies d’adaptation
  • MAELAB : une entreprise pour la modélisation et l’évaluation intégrée des systèmes de bioéconomie
    territoriale
  • L’azote : un élément clé pour le développement de l’agriculture biologique
  • L’objectif 4 pour 1000 est-il atteignable dans les sols français ? Une approche fondée sur le bilan carbone et l’évaluation de la saturation en carbone des sols
  • Evaluer le carbone stocké par les haies dans le compartiment sol
  • ResidueGas : Estimation de la contribution des résidus végétaux aux émissions de N2O des sols et importance de la maturité physiologique des biomasses recyclées
  • Evaluation du potentiel de transfert des pesticides vers l’atmosphère à partir de leurs propriétés moléculaires
  • Répartition des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) dans les sols métropolitains et risques sanitaires associés
  • Evaluation des composés perfluorés émergents dans divers produits résiduaires organiques : intérêt d’un réseau de sites d’observation de longue durée
  • L’analyse du cycle de vie pour évaluer l’efficacité environnementale de la réutilisation de l’eau
  • Le rapport isotopique carbone 13 / carbone 12 dans les jus de raisin pour estimer le réservoir utile en eau des sols viticoles
  • Effets positifs, directs et hérités, de l’introduction de prairies temporaires sur la conservation de la biodiversité des sols et les services écosystémiques
  • Le rôle des oiseaux sur les régulations biologiques des insectes en grandes cultures
  • Des indicateurs pour quantifier la contribution des adventices aux services écosystémiques
    Déterminants paysagers des bioagresseurs des grandes cultures à large échelle
  • Diversifier les cultures booste la production, la biodiversité et les services écosystémiques
    Sélection artificielle de microbiotes rhizosphériques pour améliorer la croissance des plantes
  • Diversité fonctionnelle des cultures de diversification : des caractères phénotypiques des légumineuses à graines prédisent les compromis entre services agro-écosystèmiques
  • Contribution à la conception et à la rédaction d’un handbook sur l’écologie racinaire
  • Le rafraîchissement des villes par les arbres – Le projet COOLTREES

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Alimentation, santé globale

Un vaccin contre la toxoplasmose pour les singes Saïmiris

Les Saïmiris, petits singes d’Amérique du Sud, sont particulièrement sensibles à la toxoplasmose, une infection parasitaire due au protozoaire Toxoplasma gondii. Une campagne de vaccination de Saïmiris a débuté en septembre 2017 dans cinq parcs zoologiques français. Le vaccin contre T. gondii a été développé par l’équipe BioMédicaments Anti Parasitaires (BioMAP) de l'unité mixte de recherche Infectiologie et santé publique (UMR ISP, Inra-Université de Tours), en collaboration avec la société Vaxinano.

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Bioéconomie

Isoler nos habitats grâce aux déchets agricoles

Pour un habitat durable, une bonne isolation thermique est indispensable car elle permet de réduire la consommation énergétique. L’objectif, rappelé dans le volet 2 de la loi sur la transition énergétique, est de rénover 400 000 bâtiments par an d’ici 2020. Pour relever ce défi, l’une des solutions est d’utiliser des biomatériaux isolants issus de déchets de l’agriculture. Parmi les sous-produits agricoles, le tournesol pourrait être un bon candidat.

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