Lundi 26 juin Terminé

Montpellier

Une société basée sur du sable ; le numérique, une immatérialité qui impacte

L’Observatoire de recherche montpelliérain de l’environnement propose un cycle de conférences courtes et pluridisciplinaires visant à sensibiliser et échanger sur la question du changement climatique. Les petites conférences de l’OREME sont ouvertes au public et donnent la parole aux sciences de l’environnement, de la terre et des planètes. Le lundi 26 juin 2023, de 14h à 16h sur le campus Triolet, l’Université de Montpellier accueillera la conférence nommée « Une société basée sur du sable : le numérique, une immatérialité qui impacte ». Elle sera présentée par Didier Mallarino, ingénieur de recherche au CNRS.

illustration Une société basée sur du sable ; le numérique, une immatérialité qui impacte
© OREME

Synopsis

Il est urgent d’agir pour que notre planète reste habitable. Alors que le numérique est souvent perçu comme une solution, il contribue fortement à la dégradation de l’environnement et modifie le fonctionnement des sociétés. Prenons du recul pour identifier l’ensemble des impacts environnementaux et sociétaux et prendre conscience des différents freins que l’on rencontre afin d’éviter de prendre des mesures contre-productives.

Didier Mallarino est un ingénieur de recherche et informaticien rattaché au CNRS, qui enseigne à l’Université de Toulon et dirige le GDS Ecoinfo. Convaincu que nous pourrions créer un avenir plus durable, il partage ses connaissances avec le grand public et incite les acteurs socio-économiques à agir avec lui pour atténuer l’impact de la technologie sur notre environnement. Il a notamment participé à la rédaction du Guide de bonnes pratiques numérique responsable pour les organisations.

Lien vers le site de l'OREME

l’Observatoire des Sciences de l'Univers

Il rassemble huit laboratoires de la communauté scientifique des sciences de l’univers et de l’environnement  associant le CNRS, INRAE, l'IRD et l'Université de Montpellier.

Les missions de l’OREME sont :

  • soutenir à l’activité ou le développement d’observation systématique en science de l’univers et de l’environnement ;
  • soutenir la construction de bases de données environnementales ouvertes, partagées, référencées au niveau international ;
  • encourager la mutualisation des moyens analytiques (observation, expérimentation, modélisation) et des savoirs-faire ;
  • constituer le relais local des réseaux nationaux d’observations, et un acteur fort des actions tournées vers la Méditerranée en environnement.